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La prise en charge du cancer de la prostate évolue progressivement avec la découverte de nouvelles options thérapeutiques. Une nouvelle option thérapeutique est à l’étude en France : la molécule LY2685514, qui cible les récepteurs des androgènes, et qui pourrait être prochainement proposée en première ligne.
Les androgènes sont les principaux hormones sexuelles masculines. Les androgènes sont produits par les glandes surrénales et le testicule. Ils jouent un rôle dans la formation des caractéristiques sexuelles de l’homme (chez l’homme : les caractéristiques sexuelles du mâle adulte ; chez la femme : la pilosité pubienne). L’androgène le plus connu est la testostérone, qui est présente en petites quantités dans le sang. Elle joue un rôle important dans les caractères sexuels secondaires masculins, notamment la musculature, la voix et la pilosité. On distingue trois groupes d’androgènes : les androgènes circulants, qui représentent plus de 70 % des androgènes circulants, et les androgènes biogéniques, dont la synthèse est contrôlée par la testostérone et les gonadotrophines.Qu’est-ce que la prise en charge du cancer de la prostate ?
La prise en charge du cancer de la prostate repose sur un traitement médical, et un traitement chirurgical ou un traitement médical. Les traitements médicaux peuvent être associés à la radiothérapie ou à la chirurgie.
Le traitement médical comprend le traitement hormonal (traitement à base d’anti-androgènes), la chirurgie conservatrice ou une prostatectomie radicale ou une intervention conservatrice. Le traitement chirurgical comprend la prostatectomie radicale, la radiothérapie externe ou la curiethérapie par curiethérapie ou encore le traitement radical par radiochimiothérapie dans certains cas.
Quelles sont les options thérapeutiques en première ligne pour le cancer de la prostate ?
La première ligne est constituée de l’antiandrogène en première intention, puis de la radiothérapie ou de la chimiothérapie à faible dose ou de l’hormonothérapie en première intention. La chimiothérapie est une option si les options précédentes ne sont pas efficaces.
Les options thérapeutiques en deuxième ligne
En cas d’échec du traitement médical, il est possible de proposer une chimiothérapie. Celle-ci peut être associée à la radiothérapie si la tumeur est de grande taille ou à la chirurgie en cas de cancers localisés ou de métastases distantes.
Les options thérapeutiques en troisième ligne
La chimiothérapie peut être associée à la radiothérapie en cas d’échec de la chirurgie ou de la radiothérapie en cas de tumeurs localisées.
L’hormonothérapie est une option thérapeutique en cas d’échec de la chimiothérapie.
Si la chirurgie n’est pas possible en raison du cancer de la prostate, il est possible de proposer une radiothérapie par ondes de choc ou une radiochimiothérapie (plus rarement).
Cancer de la prostate : traitement en première ligne
Le traitement en première ligne pour le cancer de la prostate est le traitement antiandrogène en monothérapie. Il s’agit du traitement qui permet d’augmenter la concentration d’androgènes dans le sang.
Si la concentration d’androgènes dans le sang est insuffisante, on peut envisager une association d’antiandrogènes, qui peuvent être associés à la radiothérapie externe. En cas d’échec de l’association d’antiandrogènes, un traitement de seconde ligne est possible : il peut s’agir de la chirurgie ou d’une radiothérapie en cas de métastases distantes.
Dans tous les cas, le traitement sera discuté en réunion de concertation pluridisciplinaire (RCP).
Une surveillance annuelle sera systématiquement mise en place, afin d’évaluer la réponse au traitement.
Cancer de la prostate : traitement en deuxième ligne
Si la concentration d’androgènes dans le sang est suffisante, on peut proposer un traitement par antiandrogène en première intention. Il s’agit d’un traitement qui augmente la concentration d’androgènes dans le sang.
En cas d’échec de l’association d’antiandrogènes, un traitement de deuxième ligne peut être proposé : il peut s’agir de la chirurgie ou d’une radiothérapie en cas de métastases distantes.
La surveillance sera effectuée une fois par an.
Une évaluation régulière sera réalisée par l’équipe médicale.
L’objectif sera de déterminer la dose et le calendrier de la radiothérapie afin d’obtenir le maximum d’efficacité thérapeutique et une bonne tolérance de la radiothérapie.